Bonne nouvelle pour tous les fans des SIMS. Electronic Arts offre actuellement le jeu PC "Les Sims 4" à tous, via sa plate-forme Origin. Sorti 2014, le dernier opus de la saga ravira les amateurs de "simulateur de vie", comme les architectes en herbe. Bref, ne perdez pas une minute, ce offre 100% gratuite se termine le 28 mai 2019. Notez qu'une fois sur votre compte vous pourrez le conserver et y jouer au delà de cette date. Reste à s'offrir éventuellement les extensions. Go Go Go !!!
URL pour l'avoir GRATUITEMENT :
https://www.origin.com/fra/fr-fr/store/the-sims/the-sims-4
Lire notre TEST de 2014 :
Incontournables du jeu vidéo, « Les Sims » ont atteint le stade du phénomène de société. De la construction de maisons à l’évolution de leurs charmants habitants virtuels... le plaisir est devenu intergénérationnel ! Mais après trois éditions, 14 ans d’existence et d'innombrables disques additionnels, le jeu d'Electronic Arts peut-il encore attirer les foules ?
Exclusivement disponible sur PC depuis le 4 septembre 2014, « Les Sims 4 » annonce le renouveau de la série. S’appuyant sur les excellentes bases du jeu de Will Wright (absent de cet opus), Maxis et Electronic Arts nous ont concocté une « simulation de vie » encore plus accessible agrémentée de graphismes optimisés. De prime abord, le géant Américain est parti pour vendre d'innombrables kits et disques additionnels pour renforcer l'univers du « jeu de base »). Mais que vaut réellement cette suite ? Testé sur un PC équipé d'un AMD Phenom 9550 Quad-Core (2.2 GHz), 4 Go de mémoire vive et d'une Ge-Force GTX 770 OC (2 Go), « Les Sims 4 » fonctionne parfaitement avec toutes les options graphiques au maximum. D’entrée, la refonte de l'éditeur de personnages saute aux yeux et l’on s’en émerveille. Celui-ci est effectivement beaucoup plus intuitif et propose de nouveaux paramètres de personnalisation fort sympathiques. A l'inverse, on réalise, tout aussi rapidement, que le contenu de l'éditeur n'est pas aussi riche que par le passé ! Cette première déception est manifeste, notamment, lors du choix des vêtements. Une fois votre famille virtuelle constituée (jusqu’à huit membres), place à l'emménagement ou à la construction du domicile. Là encore, d'importants changements apparaissent. Plus question d’évoluer dans un monde ouvert. Le nouvel environnement est segmenté par des groupes de bâtiments qui offrent diverses interactions. Le résultat ? L'univers des Sims 4 est indéniablement plus petit que celui de son prédécesseur. A noter : lors de la construction, il est maintenant possible d'intégrer des blocs de pièces préconçues. De ce fait, à l'instar du mythique « Theme Hospital » (Bullfrog), chambres, cuisines, salons, salles de bains.... s’incorporent encore plus facilement dans la maison ! Heureusement pour les puristes de la première heure, il est toute de même possible de paramétrer la taille de la pièce (d'un simple glisser-déposer) et de personnaliser à sa convenance le contenu du mobilier.
Plus beau, mais moins de contenu ?
Autant d’améliorations sympathiques (dont une intelligence artificielle optimisée) mais qui ne font pas oublier les coupes drastiques opérées depuis « Les Sims 3 » (2009). Exit, en particulier, la piscine, la customisation du terrain, les véhicules, pompiers, réparateurs... Plus gênant encore : l'absence de bébé ! Une suppression qui ne peut être que mal vécue par la communauté. Espérons que tous ces manques seront rapidement comblés via l'arrivée des DLC et futurs kits additionnels thématiques. Pour l’heure, le jeu de base (vendu une cinquantaine d'euros) est loin de nous avoir convaincu en comparaison de la richesse effective du troisième opus. Pour ne rien arranger, « Les Sims 4 » est ponctué de temps de chargement et exige une connexion Internet (pour l'activation du jeu sur « Origin »). D’où les levées de boucliers des fans. Le fait est qu’on peut effectivement critiquer certains aspects du gamepaly et le contenu du jeu. Il n’empêche que tout n'est pas mauvais dans ce quarantième épisode. Outre une légère amélioration visuelle et une ergonomie adaptée à un plus large public, le jeu de Maxis évolue dans le bon sens sur le plan de la transcription des émotions. La qualité des animations monte d'un cran et l'on apprécie les interactions avec les autres Sims. Le gameplay reste agréable. Si vous n'avez jamais joué aux précédents volets, « Les Sims 4 » a toutes les chances de vous plaire, car il est de loin de plus accessible et le plus esthétique.
Focus pour les néophytes...
Créé en 2000 sur PC, les « Sims » ont jusqu’ici permis à un public de tous âges de facilement créer d'innombrables personnages aux looks plus ou moins déjantés, de les habiller, de construire et meubler leurs maisons avant de générer de folles aventures dans cet univers virtuel. Initialement en 2D isomérique, puis en 3D, la série n'a cessé de s'améliorer au fil des années avec un contenu titanesque (ajouts de commerces, animaux, vêtements...). Avec « Les Sims 4 », nous retrouvons – mises à part quelques suppressions - tous les éléments-clés qui ont fait le succès de ce « simulateur de vie ». Appréciable : cette nouvelle édition n'exige pas une configuration de « Gamer ». Même les ordinateurs portables pourront le fait tourner facilement. A ce propos, il existe une option réservée aux joueurs nomades. En résumé, dans l’attente des disques additionnels, « Les Sims 4 » n'est pas aussi abouti que son prédécesseur, mais brille par une simplification de sa prise en main. Un bon moyen pour débuter en douceur.