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"Atomfall est un jeu avec une ambiance post-apocalyptique, qui plaira aux fans de Fallout et de Stalker 2. Entre survie, exploration et enquête, "Atomfall" promet une expérience immersive mémorable !"
Geek4Life
TEST : Atomfall

Vous aimez Fallout ou encore Staker 2 ? Ca tombe bien... "Atomfall" nous transporte dans une uchronie où le Royaume-Uni des années 1960 a été ravagé par une catastrophe nucléaire ! On y incarne un survivant explorant les terres désolées du nord de l’Angleterre, désormais zone de quarantaine radioactive. Entre survie, exploration et enquête, "Atomfall" promet une expérience immersive dans cet univers alternatif sombre et mystérieux.​ Manette en main est-il "mémorable" ?

Le ptich d’Atomfall débute en 1965, cinq ans après l’accident nucléaire de Windscale qui a transformé le nord de l’Angleterre en une zone irradiée et isolée. Vous incarnez un ancien journaliste, déterminé à découvrir la vérité derrière cette catastrophe et les secrets qu’elle dissimule. Au fil de votre enquête, vous rencontrerez des survivants (aux motivations variées !), des factions (aux idéologies opposées...), et des créatures mutantes issues des radiations.​ L’univers du jeu est globalement richement détaillé, mêlant des éléments historiques (réels) à une fiction dystopique. Les références culturelles aux années 1960 sont omniprésentes, des affiches de propagande aux objets du quotidien abandonnés, renforçant l’immersion dans cette époque "réinventée". "Atomfall" ne manque pas de charme, car il nous propose un monde ouvert où l’exploration est primordiale ! Les joueurs peuvent visiter des villages abandonnés, des installations militaires désaffectées et des paysages ruraux dévastés. Chaque lieu recèle des indices sur les événements passés, des ressources essentielles à la survie, et des dangers potentiels.​ Le système de survie est plutôt "exigeant" car il faut gérer sa santé, sa faim, sa soif et son exposition aux radiations. La collecte et la gestion des ressources sont cruciales, tout comme la fabrication d’équipements et de remèdes. De qui dynamiser le concept. De plus, les choix du joueur influencent le déroulement de l’histoire, avec des conséquences sur les relations avec les PNJ et les factions.​ Pas mal ! Les combats combinent des phases de tir (à la première personne, façon FPS) et des approches "furtives". L’arsenal d’Atomfall est composé d’armes "improvisées" et de reliques de l’armée britannique, chacune ayant ses propres caractéristiques en termes de dégâts, de portée et de durabilité. L’IA des ennemis est en revanche parfois "inégale", alternant entre des comportements "réalistes" et des réactions "prévisibles". De qui pimenter un peu l’expérience...

Une technique efficace

Visuellement, la version PC de "Atomfall" offre une représentation "soignée" de ce Royaume-Uni dévasté... Les environnements sont détaillés, avec une attention particulière portée aux effets de lumière et aux conditions météorologiques dynamiques. Les textures des bâtiments en ruine, la végétation envahissante et les ciels chargés de nuages radioactifs contribuent à une atmosphère "oppressante". Oh que oui !​ Cependant, on note des disparités graphiques entre les versions. Sur PC et consoles de nouvelle génération, le jeu bénéficie de résolutions élevées et de taux de rafraîchissement "stables". En revanche, sur PlayStation 4 et Xbox One, certains déplorent des baisses de framerate et des temps de chargement plus longs qui peuvent altérer l’expérience. Au lancement, "Atomfall" présente quelques lacunes techniques à connaitre, notamment sur les consoles de précédente génération. Des bugs "mineurs", tels que des collisions hasardeuses ou des animations rigides, peuvent survenir, mais cela n’entravent pas significativement le gameplay. Les développeurs ont annoncé des mises à jour pour corriger ces problèmes et optimiser les performances.​ Concernant la bande-son d’Atomfall, elle est un mélange subtil de compositions originales et de morceaux inspirés des années 1960. Les musiques mélancoliques accompagnent les moments d’exploration, tandis que des thèmes plus rythmés soulignent les phases d’action. De notre point de vue les effets sonores sont particulièrement réussis, qu’il s’agisse du sifflement du vent dans les plaines désolées, des craquements inquiétants dans les bâtiments abandonnés ou des grognements des créatures mutantes rôdant dans l’obscurité.​ Par ailleurs, le doublage (en anglais uniquement, pas de VF !) des personnages est convaincant, avec des accents britanniques authentiques qui renforcent l’immersion. Cependant, certaines lignes de dialogue manquent de naturel, et la synchronisation labiale est parfois approximative.



Bref, nous avons globalement aimé l’expérience de ce FPS atypique ! Surtout que la quête principale offre environ 20 heures de jeu (pas mal...), auxquelles s’ajoutent de nombreuses "missions secondaires" et activités "annexes". Notez que l’exploration (approfondie) du monde permet de découvrir des histoires cachées, des objets de collection et des zones secrètes.​ La rejouabilité est renforcée par les multiples "choix narratifs" influençant le destin des personnages et des factions. Les différentes fins incitent aussi à recommencer l’aventure pour explorer d’autres voies et conséquences. Atomfall est une aventure qui fera date : immersive, sombre et qui mêle habilement exploration, survie et enquête dans un univers post-apocalyptique original. Les fans de "Fallout" et de "Stalker 2" apprécieront ! Malgré quelques défauts techniques légers, dont une IA perfectible, le jeu parvient à nous captiver grâce à son ambiance, son scénario et ses mécaniques de jeu. Nous l’avons clairement apprécié, même s’il ne sera pas LE jeu de l’année 2025 !

Geek4Life
Graphismes : 16/20

L’ambiance visuelle d’Atomfall est une vraie réussite artistique. Le jeu retranscrit parfaitement l’aspect d’un Royaume-Uni dévasté par une catastrophe nucléaire, avec des paysages à la fois mélancoliques et oppressants. Les villages abandonnés, les installations militaires en ruine et la végétation envahissante participent à une immersion totale. Testé sur PC le jeu est fluide et bien optimisé.

Gameplay & prise en main : 14/20

Atomfall mise sur un gameplay mêlant exploration, survie et enquête. Le joueur est libre d’explorer ce monde 3D semi-ouvert où chaque décision influence légèrement le scénario. Cependant, le titre pêche par un manque de dynamisme dans certaines mécaniques. Ce qui alterne le rythme.

Musique et bruitages : 16/20

L’ambiance sonore joue un rôle clé dans Atomfall, et sur ce point, le jeu réussit brillamment ! La combinaison d’une bande-son discrète mais efficace et d’effets sonores réalistes participe pleinement à l’atmosphère post-apocalyptique. Dommage qu’il n’y ait pas de VF !

Durée de vie : 15/20

Atomfall offre une expérience de jeu assez dense (comptez plus de 20 heures !), avec une exploration approfondie et des quêtes annexes qui enrichissent l’univers. Cependant, la rejouabilité est - in fine - limitée malgré la possibilité de faire des choix narratifs.

Note pour ce test : 15/20

Atomfall parvient à offrir une expérience post-apocalyptique crédible, mais souffre (au lancement) de problèmes techniques, de combats un peu "rigides" et d’une répétitivité dans les quêtes secondaires. Malgré ses défauts, on passe dans l’ensemble de bons moments et la recette parvient à nous captiver pendant des dizaines d’heures ! Atomfall, c’est pas LE jeu de l’année 202, mais il se fera rapidement une belle communauté, tant le tout parlera aux fans de "Stalker 2" et de "Fallout"... Une bonne surprise. Un FPS sombre, glauque, mais plaisant !

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